L’entrée en vigueur, le 5 mars dernier, de la nouvelle taxation sur les communications téléphoniques, l’internet et les transferts d’argent via la téléphonie mobile continue de susciter une levée de boucliers au sein de la classe politique malienne qui appelle à l’abrogation pure et simple de la mesure.

La suite est disponible uniquement que pour les abonnés. Pour le lire, Connectez vous ou Abonnez vous
This content is for members only.