Stratégiquement prise en exemple comme la première ville du centre à bénéficier des bienfaits de la montée en puissance des forces armées maliennes sous la transition, la ville oasis de Boni, à 90 kilomètres de Douentza sur le trajet Sévaré-Gao, connaît la pire période de son existence. Au bout de huit mois que dure le blocus imposé par la katiba Serma, au nez et à la barbe des forces de défense et de sécurité, l’espoir tant vanté de la quiétude retrouvée, tourne au drame.
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